Le nouveau plan a été présenté mardi 18 novembre, élargi à d’autres maladies neuro-dégénératives.
Le nouveau plan Alzheimer[2][1] a été présenté mardi 18 novembre par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, la ministre de la Recherche, Geneviève Fioraso, et la secrétaire d’Etat chargée de l’Autonomie, Laurence Rossignol. Ce plan couvre la période 2014-2019. Son objectif est de permettre le soin et l’accompagnement des malades d’Alzheimer ; «d’impulser une nouvelle dynamique» sur la prise en charge des patients, leur qualité de vie et la recherche médicale.
Sa particularité ? Il a été élargi à d’autres maladies neuro-dégénératives, particulièrement handicapantes pour le malade et ses proches, et dont les traitements à ce jour sont quasiment inexistants :
– la maladie de Parkinson : maladie neurologique chronique dégénérative (perte progressive des neurones) affectant le système nerveux central responsable de troubles essentiellement moteurs d’évolution progressive. Elle concerne entre 150 000 et 200 000 personnes. – la sclérose en plaques : maladie neurologique auto-immune chronique du système nerveux central. Ses manifestations cliniques sont liées à une “démyélinisation des fibres nerveuses du cerveau, de la moelle épinière et du nerf optique”. Elle concerne entre 80 000 et 85 000 personnes.
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