Aidants familiaux : un projet de loi pour des problématiques multiples
Trois problématiques majeures apparaissent grâce à cette enquête :le manque d’aides financières : 54 % des aidants participent financièrement à la prise en charge de la dépendance de leur proche et 76 % des aidants souhaiteraient obtenir davantage d’aides financières de l’Etat.le manque de solutions de répit adaptées : 98 % des aidants n’ont jamais eu recours au congé de solidarité familiale ou au congé de soutien familial, bien que visiblement surmenés par leur tâche ; ils sont également 64 % à se dire isolés dans le cadre de l’accompagnement de leur proche. Un sentiment qui, couplé à la fatigue générale, peut conduire à des troubles physiques et psychologiques sévères.le manque d’informations et de formations pratiques pour affronter les situations du quotidien : 63 % ne connaissent ni les solutions de répit mises en place à leur intention (accueil de jour, hébergement temporaire en maison de retraite[1],...) ni les structures de soutien qui leur sont dédiées (associations, CLIC, CCAS, groupes de paroles, etc.). Ils souhaiteraient en outre bénéficier d’un accompagnement plus poussé dans de nombreux domaines (juridique, pratique, psychologique, médical,...). Pour combler ces besoins, le gouvernement table sur le projet de loi d'adaptation de la société au vieillissement. Les mesures adoptées en 2e lecture suffiront-elles à satisfaire les aidants familiaux auprès d’un proche âgé à domicile ? Pour en savoir plus, découvrez l’infographie sur les aidants familiaux de Cap Retraite[1] : https://www.capretraite.fr/infographie-aidants-familiaux-
[1] Retraite
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